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Qu’est-ce que l’Aïkido

Qu’est-ce que

l’Aïkido ?

 

L’Aïkido est un art martial non compétitif fondé à la fin des années 1940 sur la philosophie de la non-violence. Créé par Morihei Ueshiba (1883-1969).

 

Le principe fondamental de cet art consiste à faire le vide devant soi en évitant de s’opposer directement à l’attaque de son adversaire.

 

Le premier objectif est l’évolution spirituelle de l’être humain.

Il permet s’unifier avec la nature et agir de manière harmonieuse avec toutes les créatures du ciel et de la terre.

 

Cet art peut être pratiqué par tous : les jeunes, les femmes, les personnes âgées, …

L’Aïkido possède le plus grand nombre de pratiquantes féminines. L’âge moyen des pratiquants d’Aïkido est le plus élevé des arts martiaux. (tranche 18-40 ans)

 

Le pratiquant utilise des techniques de projection et d’immobilisation. Ces mouvements sont accompagnées d’atémi (pied ou poing).

 

Les techniques d’Aïkido consistent à déstabiliser, à projeter ou à contrôler le partenaire à l’aide d’une clé porté à l’épaule, au coude ou au poignet) en utilisant le force de son attaquant, tout en se plaçant soi-même au centre du cercle imaginaire créé par l’ensemble du mouvement. Pour la riposte, le tori dispose de deux techniques, la projection ou le contrôle, utilisées en fonction de trois facteurs : sa position et celle du uke (debout ou à genoux) ; l’attaque portée par le uke (une vingtaine de possibilités environ, selon qu’il attaque à mains nues ou armé) ; et le nombre d’adversaires.

 

Art complet, on y trouve des techniques à mains nues, au jo (bâton), au bokken (sabre en bois) au tanto (couteau en bois), ainsi que des techniques de concentration et de respiration. L’éducation du bokken et du jo est destinée à développer la lucidité et la finesse du pratiquant.

 Les techniques visent à contrôler l’adversaire et à le neutraliser par canalisation de sa force, de sa vitesse et de son mouvement.

La pratique est possible à genoux (sawari waza), l’agressé à genoux et l’agresseur debout (hanmihandachi waza) ou bien les deux debout (tachi waza).

 

Le pratiquant recherche l’équilibre optimum par rapport à lui-même et par rapport à son environnement. L’Aïkido lui enseigne à se défendre d’un agresseur ou même peut être plusieurs.

 

Dans l’Aïkido, il est impératif de respecter ou de chercher à comprendre les connaissances enseignées. Il n’y a ni chemin facile ni raccourci dans l’apprentissage pour l’acquisition des capacités.

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L’Aïkido se pratique avec un kimono blanc ou keikogi; les aïkidokas les plus avancés portent, quant à eux, le        hakama, une sorte de large pantalon-jupe noir ou bleu foncé qui permet de cacher els mouvements des pieds.   Elle se plie d’une certaines façon qui est très complexe.

 

        Puisque l’Aïkido se défini comme un art de défense non violent dont l’idéel est l’absence d’affrontement ou      d’opposition, il n’existe pas de forme de compétition ou  de combat libre : le modèle d’entraînement est celui     de l’exercice formel, effectué alternativement par les deux partenaires ; le rôle de celui qui met en pratique la technique -le tori- et celui qui la subit -le uke- est donc toujours prédéterminé.

 

  L’Aïkido compte cinq principe de contrôle fondamentaux -ikkyo, nikyo, sankyo, yonkyo, et gokyo- et une dizaine de techniques de projection –parmi lesquelles iriminage, shihonage, kaitennage, koshinage, kokyunage, tenchinage ou encore kotegaeshi. Au total, attaques et ripostes combinées forment un répertoire de plus de sept cents techniques.

 

Le rangement des armes au bord du tatami se fait de telle façon que leur pointe ou leur tranchant ne soient pas orientés vers le Kamisa. L’utilisation et la manipulation des armes au dojo se font selon un règlement strict pour éviter les accidents et pour respecter l’arme.  

 

La gradation débute par le grade de kyu –élève du 6ème au 1er après quoi par la suite, on peut obtenir un 1er Dan, shodan (1er degré de ceinture noire) ; puis un 2ème Dan, nidan ; un 3ème Dan, sandan ; puis un 4ème Dan, yondan. Ces grades sont bâtis sur un Programme national hiérarchique et déterminés par les caractéristiques de l’association à laquelle adhère le club. Après le 4ème Dan, il n’y a plus d’examen, la dotation des Dan supérieurs est prescrite par le grand maître : Tamura Senseï, 8ème Dan (godan, rokudan, nanadan, hachidan).

 

Dans l’Aïkido traditionnel, aucun élève ne porte de ceinture de couleur, sauf pour les enfants. Mais cela dépend aussi du club. Cette règle est conforme aux directives du hombu (quartier général) au Japon. Même s’il n’y a pas de catégories de poids, de forces, enfants, femmes et hommes peuvent pratiquer ensemble, sauf sur certaines techniques qui sont interdites aux enfants pour cause de sécurité.

 

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Les élèves débutent par s’initier à tomber correctement et à assimiler les effets des techniques. Par la suite, les élèves apprennent les changements de répartition du poids, d’équilibre et autres aspects de la discipline ; puis les techniques elles-mêmes, le degré de difficulté dépendant des degrés de chacun.

 

Les élèves apprennent aussi des techniques de respiration afin de favoriser la coordination entre l’esprit et le corps, ainsi que le Iaïdo (l’art de dégainer japonais).

 

Un grade, quel que soit, n’est jamais «acquis» pour tous, quand bien même il est décerné une fois une fois pour toute, et les progrès effectuées sur le plan technique comme sur le plan personnel peuvent très bien cesser, le niveau atteint régresser. Si passer des successifs (shodan, nidan, …) correspond bien à monter des marches -c’est d’ailleurs le sens du terme Dan : marche ou degré-, il faut bien penser, comme le disait naguère maître Tamura Senseï, qu’un escalier sert non seulement à atteindre les niveaux supérieurs mais aussi à descendre vers les niveaux inférieurs : il fonctionne dans les deux sens. Passer des grades successifs, c’est avant out s’investir dans une pratique martiale qui nécessite de perpétuelles remise en question.

Quoi qu’il en soit, le grade obtenu ne reflète jamais qu’une part du niveaux technique, de la personnalité, de l’engagement de celui qui le détient, tout être humain étant par nature bien trop complexe pour pouvoir être réduit au seul niveau qu’il a atteint à un moment donné de sa pratique.

 

 

L’Aïkido a des effets bénéfique sur la santé et le bien être. Il apporte ou développe notamment :

 

        ÷Force, vigueur et souplesse

 

        ÷Bonne attitude mentale et discipline

 

        ÷Méthode de défense contre une agression

 

        ÷Sens du danger

 

        ÷Réflexes corporels

 

        ÷Calme de l’esprit

 

        ÷Energie interne et puissance

 

Parfaite école d’enseignement, d’expérimentation et de développement des valeurs morales et physiques de l’individu, l’Aïkido représente une méthode d’éducation complète :

 

                -PHYSIQUE :

Car la pratique de cette discipline améliore le santé par :

                        -le développement harmonieux de toutes les parties du corps,

                        -l’augmentation de la souplesse des articulations,

                        -la correction de la colonne vertébrale,

                        -le contrôle de la respiration,

                        -la réflexion,

                        -l’endurance.

 

                -TECHNIQUE :

Car l’étude des mouvements impose :

                        -l’étude du déséquilibre,

                        -la connaissance et l’utilisation de l’énergie,

                        -le développement des réflexes.

 

                -MORALE :

Car la coordination physique et mentale qui conditionne la réalisation de chaque technique provoque, en même temps que la transformation physique externe du corps, une métamorphose interne d’ordre moral.

Par le respect du BUSHIDO, le code d’honneur et de morale traditionnelle des Arts Martiaux Japonais et l’esprit particulier de « non-violence » qui caractérise l’AIKIDO, le pratiquant acquiert les valeurs morales les plus élevées telles que :

                        -politesse,

                        -modestie,

                        -bonté,

                        -loyauté,

                        -fidélité,

                        -honneur,

                        -courage,

                        -parfaite maîtrise de soi.         

 

L’aïkido apprend, en premier lieu, à respirer et, en deuxième lieu, à ce concentrer sur la situation présente. En troisième lieu, il nous apprend à approfondir la respiration en apprenant à se contrôler, à utiliser cette énergie.

Pour un bon fonctionnement du dojo et un bon fonctionnement des cours, les pratiquants doivent respecter certaines règles :

 

        Etiquettes sur le tatami

        Règles du pratiquant

        Règles du dojo

        Le salut, Reï

 

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